Un nouveau concept de machine designé sous l'appelation "sport aventure".
La ligne stylistique est clairement inspirée de la sportive munichoise.
Le pilote profite d'une assise particulièrement creusée. Si cel permet de se caler parfaitement contr le dosseret, l'espace libre
avec le réservoir laisse en revanche peu de place aux mouvements du bassin,
Arrêtes saillantes et dépourvues de mousse de l'assise. C'est le seul bémol d'un confort mis en valeur par une position de conduite dominante et naturelle offerte par le large et haut guidon.
Chaque coup de gaz s'accompagne de son lot de frissons.
Totalement docile à basse vitesse. Le Ride by Wire correctement calibré répond à la moindre sollicitation.
Si la XR s'exprime correctement dans la lenteur, son éloquence s'approche de la perfection en prenant de la vitesse.
L'allemande épate immédiatement par son agilité et sa vivacité. S'inscrivant en courbe d'une simple pensée, sans aucune retenue.
C'est même presque trop simple.
La Xr est fidèle à son ADN de sportive. Le moteur est aussi ravageur que la partie-cycle se montre permissive.
L'ensemble est d'autant plus inquiétant pour le papier rose (sic) que la BMW se dévoile davantage dans les tours et fait preuve de vibrations vraiment dérangeantes à mi-régime.
Très bien née, la XR profite d'un prix intéressant sans sa version standard face à la Ducati.
Mais vaut-elle seulement le coût sans ces options électroniques à la fois bienveillantes et divertissantes?
Sa capacité à occulter les paysages ne faisant, quant à elle, aucun doute.
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